Le pic de stress ! Elle s’en mordillait l’ongle du pouce. Maltraitait sa lèvre inférieure. Ou avait quelques tics nerveux à passer sa main dans ses cheveux soit pour les ramener en arrière, soit pour les mettre derrière une oreille. Qui bientôt pourrait au choix, lui décoller pour de bon les oreilles en lui donnant l’air d’un nain-elfe-bizarre. Ou bien une coupe de folle furieuse. Comprenez ; comme si elle avait confondu son peigne avec un feuxfous fuseboom ! Quel dommage ce serait pour ses boucles blondes…

Elle n’était ni en retard, ni trop en avance… Quoi que ? Si, peut-être un peu. Mais sait-on jamais ! Même si le café des sorts et enchantement avoisinais la résidence Umbrosia, où elle avait posé bagage depuis le premier septembre. Elle ne se faisait pas suffisamment confiance pour ne pas prendre quelques mesures de précautions. Et pour cause, avec sa tête en l’air et ses yeux pas toujours en face des trous, elle aurait pu très facilement finir au pôle Nord en voulant se rendre au pôle Sud, ou tout autre exemple bien extrême dans le genre. La marche rapide facilité par des baskets qui avait été nouée avec soin -il ne faudrait pas non plus marché sur ses lacets- c’est finalement avec plus de vingt minutes d’avance qu’elle arriva a son premier jour d’embauche sur son nouveau lieu de travail.

La nervosité pouvait se lire sur ses traits, dans ses yeux et dans ses tics et ses tocs qu’elle continuais de laisser apparaitre généreusement sans aucune maîtrise pour son langage corporelle. Ce qui, en soit, n’avait rien de bien nouveau pour la demoiselle. Visiblement pas la première à commencer aujourd’hui, on introduit l’équipe dans un petit vestiaire partagé de l’arrière-salle, après le comptoir et dans la réserve-cuisine. Il y avait-elle, un(e) autre serveur(se) et un barista. Elle sera la main des deux, sourire colgate sur le visage et pas loin de laisser apparaitre des trémas a la place de ses yeux avec son petit air de « chibi » en leurs serrant la main.

S’en suivis quelques explications de la serveuse principale, pendant que le barista principal s’occupais de former le jeune homme. Rien de bien compliquer en soit. Arriva ensuite les emplois du temps ; comme elle s’en doutait, Magdalena allait être de fermeture la plupart du temps. L’autre étudiant serait plus souvent d’ouverture. De quoi coïncidé avec leurs emplois du temps respectif. Et ce jour ne ferais pas exception. Ce service se fit un peu dans une sorte de désorganisation-organisée. Entre la nervosité du premier jour et la découverte de ce nouveau travail. Ce n’était pourtant pas la première fois que la jeune femme faisait ce genre de petit boulot.

Les heures défilant, l’autre serveur(se) avait été renvoyé chez lui-elle, après tout, ce n’étaient pas ses heures ! Et la soirée commençais a pointé le bout de son nez. Commencer à prendre le rythme avant le début des cours le lundi suivant n’était pas si mal. Petit à petit, le café c’était vidé ; la plupart des étudiants passée une certaine heure préférais la taverne des étudiant, un lieu de fête où l’ont servait de l’alcool. Pas simplement des boissons caféiné ou a base de thé et de chocolat avec des pâtisseries multicolores, aussi mignonne soient-elles. Aussi Magdalena avait-elle commencer à ranger une table laisser pleine par ses derniers occupant et prenant la direction de la plonge -dans l’arrière-salle toujours- en passant par le comptoir, mains pleines de ses plateau, quand elle ce pris les pieds… Dans ses lacets !

Il faut croire que les jolies boucles n’avaient pas tenue ? Et là, on peut bien imaginer à la fois la tête apeurée de lémurien pris dans les phares d’une voiture modlus, la bouche grande ouverte. La tentative, de lever les bras bien haut pour sauver les plateau -échec cuisant, la gravité l’emportant sur le minipouce- et la chute, bien en avant afin d’aller dire bonjour d’un peu trop prêt au carrelage. Et le tout, dans un vacarme assourdissant, entre bruit de porcelaine brisée et petit cri de souris surprise l’accompagnant… Patatra ? Rouge pivoine… Cramoisie ? Est-ce qu’on connait une nuance de rouge assez luisante pour décrire le nouveau teint de la demi-vélane présentement ?

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Vraiment quel glupia ! Elle l’aura même dit à voix haute. Pour la traduction, elle se sera auto-traitée de « sotte », ou de « gourde », les deux vont de paire et correspondent bien à la traduction du nom d’oiseaux qu’elle s’est appropriée en relevant la tête, se mettant sur les genoux en observant le désastre. Elle en aura même commencé à maltraitée très largement sa lèvre inférieure avec des yeux tout grand, tout brillant et tout vert. Ses mains tremblantes auront initié un geste pour commencer à rassembler les débris sur l’un des plateaux renverser, mais sera rester suspendu quand elle tournera la tête vers le jeune homme. Pour elle non plus, l’anglais n’est pas inné. Et après quelques secondes à rester comme un rond de flanc en rejouant les paroles qu’avait eu son nouveau collègue, les traduisant dans son cerveau, elle aura penché la tête de côté, sourire aux lèvres bien que crispée par la gêne et un regard qui se veut fuyant.

- Non, non ça va. T’est pas obligée. Je suis navrrrrée.

Être désolée aurait peut-être suffit ? Mais le qualificatif ne lui semblait pas encore assez gigantisime. Elle notera la chaleur du sourire du jeune homme. Qui lui réchauffera un peu le cœur et la fera se sentir moins bête, au moins un tout petit peu. D’ailleurs, elle le lui rend bien. Même si dans le sien, on détecte quand même l’émotion qui se li, de toute façon, sur son visage comme dans un livre ouvert.

- Toi aussi attention ? Ne te coupe pas à cause de moi s’il te plait.

Les deux accents qui se répondent, c’est un vrai tour du monde ! Elle aura continué son geste pour commencer à ramasser bouts de verres et de porcelaine de sa main gauche, main directrice, pendant que la droite replace une mèche de ses cheveux blond derrière son oreille pour mieux rejoindre la première dans cette besogne. Joue légèrement rosie depuis qu’elle à relever la tête de son plat monumental sur le sol du café, elle ne perd toujours rien de ses couleurs en voulant ce concentré sur la tâche, continuant de pestée intérieurement -ou pas- dans sa langue natale, a son propre sujet. Ce qui, d’un regard extérieur, ne doit pas être bien mieux que les petites onomatopées du Coréen sans leurs traductions.

- Je suis vrrraiment désolée. Je ne te mets pas trrrrop en retarrrd sur tes tâches ? C’est Min-Soo c’est ça ?

C’est comme ça qu’il c’était présenté tout à l’heure quand il y avait tout le monde non ? Et comme ça aussi que l’avait appelé le barista permanent du petit café aux milles couleurs ? Il ne faudrait pas qu’elle se trompe… Comprenez : Min-Joon, Yi-Min, Min-Joon, Joon-Yi ? Les noms Coréen peuvent la plonger dans une certaine confusion, elle n’en a pas l’habitude. Loin d’elle l’idée de vexée qui que ce soit, c’est un simple état de fait. Cette composition de prénom n’est, après tout, pas répandu de là où elle vient.

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Les point d’intérogation que Min-Soo aura eu au-dessus de la tête se reflèterons dans le poisson qui passera dans le regard de Magdalena. Pourquoi on… ramasse ? Ben… On ne va pas laisser ça là ? Et… Oh ! Oh… Oh ! Ah ben oui, ce n’est pas faux ça. Et d’ailleurs on va même voir l’ampoule s’allumée au bon étage quand elle va comprendre. Et ça passera de la moue étonnée, à celle de l’éclairage du neurone solitaire.

- Rrrrecule un peu ? Reparo.

Si l’accent est absent du sortilège, c’est bien parce qu’elle l’aura prononcée dans sa langue natale et non dans un anglais forcé, elle qui parle anglais, mais pas non plus comme une native et toujours avec plusieurs fautes de grammaire. Il y aura un petit rire chez la demoiselle qui viendra le masquer de la main qui ne joue pas les chefs d’orchestre avec sa baguette.

- Appelle moi Mag ou Magda si c’est plus simple pourrr toi.

Elle continuerait bien en citant Megara dans Hercule -même sans avoir la référence- en disant « c’est comme ça que m’appelle mes amis, l’ennuie c’est que je n’ai aucun ami ». Mais sorti de sa bouche ça ne fera pas aussi badass que chez l’héroïne Disney. Donc on s’en passera.

- Ooooh tu pourrrra me rrregarrrder comment on fairrrre les latte ?

Et vu la phrase qui suivra -ou chevauchera- la sienne venant du jeune homme, il faut croire que les grands esprits ce rencontre ! D’ailleurs, elle va avoir le regard tout illuminée de paillette. Et si elle ne se met pas à taper dans ses mains comme une enfant de cinq ans, c’est simplement parce qu’elle est occupée présentement a terminé de rassembler les tasse et ustensiles nouvellement réparer à l’aide de son sort -si le dé le veut- sur le plateau qu’elle apportera dans l’arrière-salle dans un instant.

- Ne te dérrrange pas pourrrr la salle, surrrrtout si tu as encorrre du travail.

Ou tout court en fait, elle n’aime pas déranger Magdalena et ça passe par le fait de ne pas savoir recevoir l’aide d’autrui. De nouveau sur ses pieds, le plateau a la main, ça ne l’empêchera pas de faire un faux mouvement qui illustrera au jeune homme un fait très simple sur la Polonaise : elle n’a nullement besoin d’un sol glissant, d’un mauvais sort ou d’une peau de banane pour s’emmêler les pieds !

- Je vais mettrrrre ça derrière. C’est déjà bien que la plonge soit enssorrrrcelée.

Et ce, même si on aura bien un jour une scène où ils iront la faire rien que pour s’amuser avec les jets d’eau, petite idée en passant. Elle passera les doubles portes pour aller en cuisine et déposer le plateau a l’éponge enchantée et le tuyau qui vont avoir l’air de soupirer très fort pour des objets sans vie. Encore un peu et elle aurait l’impression qu’ils veulent l’engueuler d’avoir mis autant de temps ! Du coup, si on l’entend s’excuser platement, ça sera à ses pauvre travailleurs ensorcelés. Elle reviendra en salle principale, avec son torchon a la main pour commencer à essuyer les tables, le produit dans la seconde qu’elle dégaine comme si c’était une arme à feu moldu.

- Tu étudie quoi ici ? Et t’est dans quel rrrrésidence ?

Il faut faire la conversation ? Au moins un peu ? A moins qu’elle ne le dérange ? Mais il n’a pas l’air réfractaire, si ? C’est fou ce qu’elle ce prend le chou toute seule la vélane !

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Inverser ? Inverser quoi ? Y’a comme un poisson qui passe dans le regard de Magdalena, qui, une fois n’est pas coutume a une bonne tête de blonde avec le l’eau a la place du cerveau ! Elle n’a pas tout compris non plus apparemment, et commence a rejouer sa propre réponse dans sa tête mot par mot. Jusqu’à l’illumination qui a dû être la cause de son prochain manque d’équilibre.

- Oh ah non ! -en Polonais- Toi démonter a-moi comment tu fairrrre le latte !

Ce qui sera suivis par le classique teinte tomate bien mûr en voyant qu’il l’avait sauvé d’une nouvelle catastrophe. Et a sa phrase -et son sourire- elle répondra par un hochement de tête, qu’elle ne relèvera pas en entrant dans la cuisine pour avoir tout son débat avec l’éponge et le tuyau. C’est en ressortant qu’elle aura de nouveaux quelques mots pour son collègue après s’être rejouer dans sa tête ce qu’il lui avait dit.

- Elle est différrrrence de la sorrrrcier ?

La vaisselle moldu ? Et y’a vraiment une interrogation curieuse dans le regard de Magdalena quand elle va tourner rapidement les yeux vers Min-Soo avant d’en revenir à son torchon et son produit ménager pour commencer à astiquer les tables. Tout en poursuivant la conversation pour apprendre à un peu se connaitre. D’ailleurs on l’aura entendu avoir des « oooh » et des « aaah » relativement excité a l’annonce du cursus du jeune homme, avec quelques paillettes dans les yeux et un grand sourire.

- Je suis en médicomagie et j’habite à Umbrrrosia le petit hiboux. J’ai eu ASPIC en juin à Durrrrmstrrrrang.

Hiboux qu’elle va imiter en formant deux cercle avec ses pouces et ses index qu’elle place devant ses yeux en penchant légèrement la tête de côté. Après quoi elle va prendre un petit temps de réflexion pour voir si elle a bien compris la question ; son année d’étude ou de naissance ? Elle optera pour la seconde option en espérant ne pas se tromper.

- Dwa tysiące szósty. - A la tienne Mags ! –Heu… - Et là comme elle est pas sûr de comment le dire en anglais, elle va le faire avec les doigts pendant qu’elle dit les chiffres. –Deux… – jolie signe de la victoire – zérrro zérrro – le poing fermé- Six. – avec les deux mains cette fois l’une totalement ouverte et l’autre avec simplement l’index. – Et toi ?

Ça, ça va, ce n’était pas trop difficile à dire !

- Tu fait quel position au Quidditch ?

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E- st-ce que… ça te déranger si je vous lance une heu… sort de traduire ?

Qu’elle aura dit à peu près au même moment -ou en même temps- que la réflexion du jeune homme sur la facilité qu’ils auraient si ils pouvaient parler dans leurs langue pour se comprendre, à croire qu’à leurs manière : les grands esprits se rencontrent ! Même si en soit, elle avait tenté l’anglais et lui avait parlé Coréen, ce qui fera naître toute une nouvelle salve de point d’interrogation au-dessus de sa tête.

- Uh ? Non, non. J’aime m’occuper des gens. -Suivis d’un sourire éclatant où l’on verrais presque des tréma a la place de ses yeux –Il faut travailler pour payer l’université et la chambre. Et ce café est mignonne.

Ayant tourner la tête pour regarder le jeune homme pendant sa réponse, elle aura dévié le regard vers la préparation avec tout plein de paillette dans le regard. Coinçant le torchon dans sa ceinture et posant le produit ménager sur le comptoir qu’elle aura contourner pour s’en approcher les mains dans le dos tout en regardant le décompte que le jeune homme aura a son tour cette fois, hochant la tête avec ses onomatopée « ooh » pour montrer sa compréhension. Et après une seconde fois à ce faire la réflexion que ce serait bien plus simple avec un sort de traduction, tout en ayant attendu d’avoir l’accord du jeune homme…

- Translatione.

Dans sa langue natale, une fois encore, laissant les gestes être indice du sort effectuer à défaut du mot. De toute façon, l’apparition de petit ruban coloré au-dessus de leurs têtes, d’un rose doré pour elle, sera suffisamment parlant.

- Ouaaah c’est impresionant ! Attrapeur donc si j’ai bien compris ? C’est pas trop de travail pour toi aussi entre les entrainements, les cours et le travail ici ?

Elle est tout de suite vachement plus à l’aise à pouvoir parler dans son polonais natal ! En tout cas, ça rendra la conversation un peu plus fluide.

- Haaaaaaan ! C’est trop mignon ! J’aime beaucoup.

Elle aura un air étonné qui suivra quand la tasse sera poussée dans sa direction, au point d’en pointé son index sur sa propre poitrine en penchant légèrement la tête de côté avec une petite moue qui mettra en avant la charnure de ses lèvres.

- C’est pour que je goûte, moi ? Et toi ?

Même si ça lui fait plaisir, preuve en est le léger teint rosi que ses joues aurons pris

- Je trouve que c’est très jolie, et très bien fait. Bon, je goutte alors.

Elle ne peut pas souffler dessus, ça risquerait de cassé le beau dessin de mousse. Elle attrapera une paille derrière le comptoir pour la glisser sur un bord de la tasse en faisant très attention a ne pas abimé le dessin -il est trop mignon !- attrapant la tasse par la hanse pour glisser cette même tige entre ses lèvres et aspirer un peu du liquide. Une toute petite gorgée, parce que c’est chaud ! Mais qu’elle laissera rouler sur le bout de sa langue. Et on verra bien, là encore, son visage s’illuminée.

- Miam miam ! C’est bon ! C’est du chocolat ?

Elle n’en boit pas si souvent, du chocolat chaud. Principalement en hiver ou quand les mauvais jours arrivent, ou bien les fêtes de fin d’année : bien plus accro à son latte avec arôme noisette. Pour autant elle apprécie et va même prendre une seconde gorgée.

- Ce sera très, très réconfortant pour l’hiver. Encore plus qu’un Hyacintum flama dans un bocal !

Elle transpire l’honnêteté et l’enthousiasme en le disant, presque digne d’une cheerleader pour le joueur de Quidditch.

- C’était Lotushima ou Mahoutokoro ton école ? J’ai entendu que la réputation du Quidditch a Mahoutokoro est très impressionnante.

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Que Min-Soo se rassure, s’il passe par moment peut-être pour un « idiot », et encore c’est uniquement pour citer sa narration, ça n’est clairement pas mieux pour Magdalena et son anglais aussi approximatif que son collègue ! Après tout, ils sont tous les deux dans le même bateau en la matière et c’est bien pour ça qu’un translatione aura fini par être lancer par l’étudiante en médicomagie.

- Non, non, j’ai juste eu besoin de traduire dans ma langue, je suis pas familière des termes sportif en anglais.

Avait-elle répondu en accompagnant la parole d’une gestuelle de ses deux mains relever qu’elle gesticula de droite a gauche en signe négatif. Loin d’elle l’idée de faire douter le jeune homme de ses propres capacités, d’ailleurs on imaginerait presque la goutte sur l’extrémité gauche du front de la petite blonde.

- Il faut faire attention c’est important le sommeil et pas seulement pour ton organisme et ton système nerveux, mais aussi pour ta peau et éviter de la faire vieillir trop vite. Si des fois tu te sent trop fatiguer et qu’on travail ensemble, je t’aiderais, d’accord ?

Et elle est plus que sincère en le proposant, elle qui a la parole aussi facile que son interlocuteur. L’animation du petit café est passée à un tout autre niveau depuis qu’ils n’ont plus à s’étranglais avec l’anglais et peuvent lire les sous-titres visiblement ! Les rubans n’ont qu’à bien se tenir !

- Moi je trouve ça impressionnant, surtout sans magie !

La préparation, le dessin, le goût. Tout, tout, tout ! D’ailleurs elle va prendre une nouvelle gorgée en l’écoutant lui expliquer les différences entre les deux écoles de magie d’Asie, agrémentant de commentaire en onomatopée toujours et de grands yeux bien ouverts plein de paillette, parce que c’est vachement impressionnant ! Surtout pour elle qui n’est vraiment pas à l’aise sur un balai donc imagine encore moins faire tout plein de pirouette aérienne comme font les joueurs de Quidditch.

- Oooh je suis pressée de te voir sur le terrain alors ! C’est trop impressionnant ce que les joueurs de Quidditch font sur des balais ! Et… ça ne fait pas peur ? Je trouve ça terrifiant ! Impressionnant, mais terrifiant.

Bonne interlocutrice, évidement qu’elle rebondit à tous ses mots avec une excitation frôlant l’indécence pour quelque chose qui serait banal pour d’autre. Mais Magdalena, c’est un livre ouvert de tout plein d’émotion.

- Mmmh t’est pas loin, je viens de Pologne, j’ai fait mes étude à Durmstrang. Le climat ici est beaucoup plus agréable.

Et en disant ça, elle ne parle pas forcément que de la météo d’ailleurs. Mais aussi des gens qui ont l’air plus sympathique pour beaucoup, ou moins rude.

- C’est intéressant comme alphabet. J’arrive pas a comprendre la structure des mots et des phrases.

Poursuit-elle en pointant le ruban au-dessus de sa tête du doigt, louchant a moitié dessus en levant la tête, emmêlant au passage son pied droit et son pieds gauche parce que son équilibre précaire ne lui permet pas de garder le nez en l’air bien longtemps sans ressentir quelques effets de gravité que seuls les maladroits peuvent comprendre et qui rejoint son malaise sur un balai, ou dans ses escaliers d’ailleurs. Quoi que… debout sur une chaise ça marche aussi !

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Le someil et elle ? Tout est relatif. Mais elle va se retrouver comme un rond de flanc, Magdalena, a pas savoir quoi répondre avec la tête du bug qui va bien. Juste avant de prendre une teinte plus rouge que rouge, cramoisie même ! Le tout avec une moue entre le « désolé », l’embaras et tout ce qui va bien avec ! Tout en remuant frénétiquement ses mains toujours en signe de négation quand sa voix va partir un peu plus encore dans les aigüe.

- Non, non, non, non, non !  Elle est très bien ta peau ! Au contraire t’est même carrément mignon c’est pas du tout, du tout, du tout ce que je voulais dire. Désolé.

Et on aura vu un véritable feu de signalisation lui passer sur les traits avec tout le mélange d’émotion qui sera passer en une seule phrase. De quoi la confondre avec un véritable cartoon, ou presque. Et le tout, en rougissant de plus en plus et jusqu’à en avoir presque le vertige ! Il faudra bien une conversation un peu plus « profonde » ou sérieuse pour la sortir de là et l’évité d’aller se réfugier dans le premier trou de souris qui passe ! Fort heureusement pour la demoiselle, c’est en ce sens que va la conversation. Ce qui lui permettra de reprendre un peu ses esprits et arrêter de balbutier à ne plus savoir ce qu’elle dit ou comment elle le dit.

On reprendra donc les onomatopée le temps de parler de manufacture semi-moldu et que sa teinte reprenne des couleurs à peu près normales. Ce qui ne sera pas forcément le cas quand on parlera des balais, puisque c’est quand même une spécialité des sorciers. Et quelque chose qu’elle ne maîtrise pas du tout. Un peu comme d’autre ne savent pas nager en réalité.

- Je comprends que ça doit être libérateur d’être tout là-haut, là-haut. Je ne suis pas à l’aise parce que je ne sais pas si t’a remarqué mais je suis plutôt maladroite alors bon… Même debout sur un trottoir je me méfis de mes pieds. Je préfère à la limite les tapis volant… Si c’est pas moi qui conduit !

Etonnant qu’une demoiselle qui pratique la course a pied et le yoga aient finalement, dès qu’elle retire ses vêtements de sport, deux pieds gauches : littéralement. Et pourtant c’est bel et bien le cas ! ça et l’appréhension qui nait d’une sorte de peur.

- Oui, on est à mi-chemin entre les pays de l’ouest comme la France et l’Espagne et la Russie, en dessous de la Suède bordé par la mer Baltique.

Il ne lui avait pourtant pas demander un cours de géographie le pauvre… Et pourtant, c’est ce qu’elle aura fait avec la gestuelle qui va bien en ce servant de ses doigts pour dessiner des chemins de cartes imaginaires.

- Hmmm Dursmtrang c’est… froid. Il parait que Mahoutokoro est très exigeant avec ses élèves, Dursmtrang aussi mais a sa manière. La hiérarchie du sang y est primordiale et les hybrides sont très mal vu. Les né moldu sont rarement accepter a l’école, si non jamais.

Elle qui n’aura pas eu une bonne expérience de sa scolarité n’est peut-être pas la meilleure personne pour donner son avis sur l’école d’Europe de l’Est. Pour autant, elle aura dit tout ça d’un ton égal, le regard partant légèrement en biais vers le plafond pendant quelques pauses de réflexion pointé par l’index à la commissure de ses lèvres.

- Je peux pas en dire d’avantage… Je risque de finir à Nurmengard.

Aura-t-elle ponctué en déplaçant l’index sur ses lèvres en prenant un air malicieux qui s’accompagnera d’un clin d’œil pour marquer la référence à la prison sorcier construit par Gellert Grinderwald à son époque et qui reste connu pour être l’un des lieux d’incarcération les plus rigide du monde magique, plus encore qu’Azkaban.

- Pourtant tu as l’air de t’en sortir très bien en anglais !

Rapport aux différences d’alphabet qui ira même jusqu’à soulever quelques questions supplémentaires chez la demi-vélane, qui les taira cependant pour le moment. Il faut dire que la proposition du jeune homme de s’essayer à l’activité de dessin sur boisson avait relancer les quelques teintes de son visage quand son index, toujours le même, ce mis cette fois a pointé son propre plexus solaire, ou un peu en dessous.

- Je veux bien… Tu me montre comment on fait ? Un chat ! On peut faire un chat ?

Parce que c’est trop mignon les chats ! Et qu’elle aura dit ça en s’approchant un peu plus du comptoir, du jeune homme et de la boisson, prenant appuie à deux mains sur l’inox en commençant a ce dandiné de droite a gauche par excitation. Le tout avant d’avoir comme une illumination qui la fera sursauter.

- Oh mais attend !

Elle se tournera vers l’évier pour faire couler de l’eau et prendra le temps de se laver les mains avec soin -et du savon- puis de les sécher avec un chiffon propre.

- On a pas commander de supplément produit ménager !

Dit-elle en revenant à sa place, prêt cette fois a s’y essayer quand elle se penche vers la boisson avant de… Tourner la tête vers Min-Soo, un point d’interrogation dans le regard qui doit vouloir dire : « comment que je fait ? ».

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Magdalena a toujours été quelqu’un de très sensible à l’effet qu’elle produit chez les autres et notamment, par la peur de leurs faire du mal. Pour autant, dans une conversation aussi détendue que celle qu’ils ont actuellement, elle a du quelque part saisir la plaisanterie. Non cependant sans fond de doute quant à l’effet produit. Elle n’aura pas eu de mots, que ce soit pour dire au jeune homme qu’elle aime bien l’humour et que les blagues ne la dérangent pas, ou encore que la maladresse ne soit pas mignonne, c’est une plaie ! Et puis, ça la fait souvent passer pour une idiote aussi. Non, à la place elle aura eu tout plein de petites moues et expression sur le visage tout aussi parlant, si non plus, que l’aurais été la vibration de ses corde vocale ou le sous titrage de son Polonais natal.

Elle aura aussi écouté avec grand intérêt les explications du jeune homme, s’abreuvant de sa culture de de ce qu’il partageait de ses écoles, ponctuant ses phrases en bonne auditrice par des hochement de tête, d’autres expression, ou encore ses habituel onomatopée qui était part intégrante de la conversation. Elle sembla réfléchir, aussi, par moment à l’impact de la hiérarchie différente de l’école Japonaise ou ses conséquences sur le développement de l’enfant, des élèves. Petites choses qu’elle garde sous silence pour ne pas devenir ennuyeuse ou ennuyante. Après tout, sa façon parfois de vouloir partager la culture ou différent point de vue par le biais d’analyse lui ont souvent valu quelques sobriquets désagréables, ou phrase tranchante du genre de « on s’en fou » ou « tu soule ». Rare sont, finalement, les êtres qui réellement veulent apprendre et se développer au fil des âges. Beaucoup, passer un certain chiffre, sont même convaincu que ce n’est plus nécessaire et qu’ils peuvent se reposer sur leurs acquis et leurs petits mondes, se satisfaisant dans la complaisance de ce qu’ils sont sans jamais se remettre en question. Magdalena est trop jeune pour ça, mais surtout, elle espère ne jamais le devenir un jour. Car après tout, l’intelligence est intimement liée à la croissance autant qu’à la capacité d’adaptation. Et l’adaptation viens avec l’apprentissage, tout au long d’une vie. Le rapport avec Min-Soo ? Aucun, c’est un débat philosophique qui explique simplement pourquoi elle manquera peut-être de mots. Car elle ne connaît pas encore bien son collègue et camarade ou pas assez pour savoir si elle doit ce plié aux complaisances sociale ou bien être nature peinture.

- C’est vrai que c’est tout un nouvel alphabet et de nouvelles structures de phrase. On pourra s’entrainer ensemble si tu veux. Mon anglais est très approximatif aussi pour l’instant.

Et à être immergé dans cette université, de toute façon, ils n’auront pas tant le choix que d’apprendre à manier un peu plus la langue de Shakespeare ! Oh oui ses mèches ! Qu’elle va coincer derrière son oreille bien soigneusement avant de commencer à écouter avec la plus grande attention les instructions du jeune homme, mordant sa lèvre inférieure comme pour marquer encore plus la concentration. Elle tentait de saisir justement ses indications quand la question lui fit relever les yeux vers le jeune homme avec la marque de l’étonnement dans le regard, mais aussi par le mouvement de ses sourcils vers le haut et un petit « hhm ? ».

- Ah heu, oui, oui.

Elle en aurait presque lâché l’instrument, pendant devoir se décaler avant de comprendre réellement ce qu’entreprenais le jeune homme. Chose qui lui fit, une fois de plus, monter le rose aux joues. Une gêne qui pourrait laisser entrevoir d’autre parfum quand son anxiété sociale et sa tendance à ne jamais trop ce laisser approcher est mis à mal par un cours de dessin sur latte qu’elle est très heureuse de suivre, mais n’empêche pas tout de même quelques petites réactions incontrôlées qui lui font perdre un peu de sa concentration et de sa maîtrise. D’ailleurs c’est ce qui fait qu’elle aura plus beugué sur les mains que repris l’observation des gestes dans un premier temps avant que la voix du jeune homme ne la ramène à la réalité et, qu’après un léger mouvement de tête, elle ne se concentre sur la tâche en cours en laissant complètement la main de Min-Soo guider la sienne pour marquer les formes sur la mousse de lait.

- Oh ! Oui je vois, c’est fastidieux !

Surtout pour elle qui n’a jamais vraiment su dessinée et qui a encore un niveau à faire des espèces de bonhomme en bâton. On remerciera donc le talent du Coréen de nous sauver le chat en cours de création, car ce n’est pas sur elle qu’il faudra compter pour ça !

- Ouaaaah ! C’est vraiment, vraiment trop mignon ! Mais… ça te prend pas trop de temps à chaque commande ?

C’est un large sourire qui sera né sur son visage et plein de paillette dans ses yeux. Et dans la seconde partie de celle-ci, lorsque la question sera posée, c’est une petite moue avec les lèvres légèrement en avant qui prendra place alors qu’elle tourne la tête pour regarder le visage du jeune homme… Et bugué, car une fois n’est pas coutume et qu’il est quand même très, très près. Ça sera donc le retour du rose sur la joue dans un mouvement pour prendre un peu de distance en lâchant l’instrument qui tapera dans un bruit sourd contre le comptoire.

- Je suis meilleure a faire de la pâtisserie, on pourrais presque monter un commerce sur le marché : je fait les gâteau et tu les décors !

C’est une blague, vraiment, même si ce n’est pas du grand art dans le monde de l’humour. Elle passe la main dans ses cheveux et on verrait presque le retour des trémas a la place des yeux quand son regard part en biais vers l’horloge murale.

- On devrais peut-être fermé aussi, si tu as un emploi du temps ultra chargé, autant ne pas te privé des heures de sommeils que tu peut encore avoir avant de commencer les cours lundi ! On reprendra la classe demain ?

Classe de dessin sur latte… Elle n’a pas forcément, en soit, envie de mettre fin a ses heures, mais ils doivent quand même rentrer à un moment et surtout fermé le café à une heure descente. Surtout le premier jour ! Il ne manquerait plus que les chefs pensent qu’ils n’ont pas été capable de gérer leurs première fermeture au café.

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Magdalena ne s’attendais certainement pas a ce que le jeune homme prenne sa proposition de partenariat au sérieux, mais maintenant qu’il l’avait fait… Elle trouvait vraiment que c’était une bonne idée et commençait à s’emballer toute seule dans sa tête en se faisant tout plein de film. Tout en s’imaginant que ça pourrait quand même bien arrondir les fins de mois si ça fonctionne !

- Oh ! Oui je trouve que ça serait bien pour compléter les fins de mois. En plus ça serait rigolo à faire, un vrai travail d’équipe ! Et le marché comme c’est que le dimanche, si on s’organise ça peut ce faire.

Et elle n’aura pas été loin de développer un monologue, mais nous ne l’aurons pas entendu puisque l’horloge se sera mise entre elle et ses idées de grandeur en termes de pâtisserie.

- Oui il reste des cookies et les petits cupcake en forme de vivet dorée au citron. Tu as besoin de combien ?

Demandera-t-elle, comptant bien mettre la main a la patte et lui préparer le petit sac de gâteau qui lui sera nécessaire sans se poser plus de question que cela.

- Oui pas de soucis, fait les café je les ferme et les met dans le sac avec le reste.

Enchainera-t-elle le plus naturellement du monde en s’exécutant alors qu’elle terminait justement de faire une première boite avec les douceurs sucrées, ce penchant ensuite pour attraper un autre sac et les porte gobelet qui allaient avec ainsi que des couvercles.

- Oh oui je veux bien ! C’est un Américano c’est ça ? Généralement je prends un latte arôme noisette, chaud en hiver et frappé en été.

Petite information qui n’attend absolument rien en retour, juste dans l’optique toujours de faire plus ou moins connaissance. Et au milieu de tout ses mouvements c’est un véritable exercice que de ce concentré a la fois sur ce qu’elle fait et à lire les sous-titres au-dessus de la tête du jeune homme, c’est que les deux ne sont pas tout à fait dans le même angle de vu ou même, a la même hauteur.

- Tu as besoin d’aide pour porter tout ça jusqu’à ta résidence ? Tu risques d’être chargé non ?

Encore une fois, elle voudra simplement aider, preuve en est son sourire amical et le fait qu’elle lui montre les premiers sacs bien remplit. A voir si Min-Soo aura fait des cafés pour toute sa bande ou juste sa chambré. Auquel cas, une ou deux mains de plus serait sans doute pratique ? Et puis, ça permettrait à Magdalena de découvrir des coins de l’université qu’elle n’a pas encore eu l’occasion de visité depuis ses premiers jours à foulé le sol du campus. Avec un peu de chance, elle ne s’y perdra pas. Elle doit de toute façon avoir la carte de Spellwicks quelque part dans son sac… Si elle ne l’a pas encore oublié sur son bureau !

♡ ma couleur est le rosybrown / #bc8F8F ♡

Dans l'éternelle danse de la vie, parfois nos pas se croisent avec une grâce inattendue, tissant des liens qui transcendent le simple hasard pour devenir des rencontres d'une vie. Ces rencontres sont comme des éclats de lumière dans l'obscurité, des moments magiques où deux âmes se reconnaissent, s'entrelacent et se promettent une connexion indélébile. Imaginez-vous dans un univers où chaque rencontre est une énigme à déchiffrer, où chaque sourire échangé est une invitation à découvrir une nouvelle facette de l'autre. C'est dans ce tourbillon de possibilités que naissent les rencontres d'une vie. Parfois, elles surgissent de nulle part, comme une brise légère qui caresse doucement notre cœur, et parfois elles se manifestent dans des circonstances inattendues, défiant toute logique, mais célébrant la beauté de l'imprévu.

Ces rencontres sont comme des histoires tissées par les étoiles, des récits où chaque détail semble être écrit avec une précision divine. Elles peuvent débuter par un simple regard, un geste timide, ou même une conversation anodine, mais elles évoluent rapidement pour devenir des chapitres inoubliables de notre parcours. Elle laisse une empreinte indélébile dans nos mémoires et dans nos cœurs. Elles nous inspirent à croire en la magie de l'existence, à embrasser l'inconnu avec courage et à chérir chaque instant comme un trésor précieux. Dans ses rencontres, nous trouvons un miroir de notre propre âme, une connexion authentique qui nous rappelle que, dans ce vaste univers, nous ne sommes jamais vraiment seuls. C'est pleine de cet optimisme qu'elle vois en tout cas sa vie et cette nouvelle opportunité qu'est Spellwicks University, Magdalena.

- C’est une bonne idée oui, comme ça on pourra voir si on peut mettre cette idée en pratique !

Elle est enthousiaste maintenant à l’idée de vendre des petites pâtisseries sur le marché de l’université, que ce soit pour arrondir ses fins de mois ou tout simplement et principalement parce que l’activité lui plait énormément. Et ça va se ressentir autant dans sa voix que dans les étoiles dans ses yeux ou l’éclat de son sourire.

- Huit ça marche ! Oh neuf alors c’est partie !

Et toujours avec en train quand une véritable chaine de production va se mettre en place pour aider les gestes du jeune homme et l’aider à finir le plus rapidement possible.

- Ah, si ça ne te demande pas plus de travaille, je ne dit pas non. Juste un latte avec une lichette de sirop de noisette.

Il ne faudrait pas que ce soit trop sucrée non plus. Mais comme elle n’a rien avalée de l’après midi -journée- ça lui permettra de rechargée un peu ses batteries à la demi-vélane ! Quant a la suite, elle sera ponctuée d’un « oh ? » interrogatif avec la petite moue qui va bien. Et le restera encore un moment quand ses joues vont de nouveau s’empourprée.

- Je ne voudrais pas m’imposer avec ton groupe d’amis… – a voir l’enthousiasme du jeune homme cependant elle abordera un sourire doux – Mais pourquoi pas. Si ça ne dérange pas tes amis du moins.

Elle n’aime vraiment pas déranger, Magdalena et encore moins donner l’impression de s’imposer comme une cinquième roue du carrosse.

- Oh ! Mais ne paie pas pour moi, je peux payer ma boisson. Ne te dérange pas. Ou alors la prochaine fois, c’est moi qui invite !

Elle est toute gênée pour être honnête et d’empourprée elle a repris un jolie cramoisie a s’en mordillée la lèvre inférieure en regardant plus ses mains que le jeune homme. Mais ne connaissant pas forcément les us et coutume du garçon, elle n’ira pas non plus insister au risque de le froisser et suivra simplement le flow en fonction de sa propre réaction.

- Je m’occupe du comptoire, tu étteint les lumière et baisse les rideaux ?

Si tôt dit, si tôt fait et la demoiselle effectuera quelque geste simple pour rendre le comptoir aussi luisant que quand ils l’avaient trouvé en arrivant pour leur shift, si ce n’est plus encore ! À la suite de quoi, elle prendra son sac qu’elle passera en bandoulière par-dessus son épaule avant d’attraper l’un des sac -ceux contenant les pâtisseries- qu’elle tiendra à deux mains jointe devant elle.

- Si ça ne te dérange pas, je prend les gâteaux et te laisse les boissons, on n voudrait pas que la moitié des Américano ait fini par terre avant de retrouver tes amis !

Sur le ton de la plaisanterie, penchant la tête de côté avec un sourire éclatant une fois de plus. Elle attendra quelques instant Min-Soo pour prendre la direction de la porte et vérifier avec soin qu’ils n’avaient rien oublié de faire ou de fermé avant de partir, levant les yeux vers le ciel étoilée avant d’observée les pavés de l’université.

- Je n’étais pas encore sortie le soir, c’est vraiment calme ! Ils sont tous dans leurs résidences tu crois ?

Qu’elle naïveté Magdalena ! Tu ne pense pas plutôt qu’ils seraient pour la plupart à la taverne à cet heure-ci ?

- Tu as eu l’occasion de visité ? J’avais très envie de voir le jardin des pensées paisibles et le parc des animaux magique, j’adores les créatures et animaux, j’ai faillit aller en Magizoologie au lieu de la médicomagie.

♡ ma couleur est le rosybrown / #bc8F8F ♡

Bien évidemment, Magdalena n’aura pas oublié de dire merci au jeune homme, pour son invitation, pour le latte et pour... la seconde invitation aussi ! Celle à venir avec lui. Sortir de sa zone de confort ça voulait aussi dire faire de nouvelle rencontre. Loin de regretter, bien au contraire, celle qu’elle avait faite sur son lieu de travail. La demoiselle se disait avec optimisme que les amis de Min-Soo, pour qu’ils les aient choisis, devait certainement être aussi sympathique que lui ! N’est-ce pas ? En revanche la prochaine fois, elle l’inviterait ; sans arrière-pensée aucune, elle y tenait cependant par principe.

- Si ils sont tous un peu comme toi je n’en doute pas.

C’était sorti tous seule et sans vraiment qu’elle ne réfléchisse à ses mots, puisqu’au moment où elle l’aura dit, elle avait eu les mains encore occupée et de facto, l’esprit aussi au moins en bonne partie par les tâches qui restait à faire pour les préparations avant de quitter l’endroit. Ce qui nous ramènera à la répartition des sacs et la mission de garder sain et sauf les boissons fraichement préparer ! Elle s’inquiète beaucoup moins de sa maladresse avec les gâteaux : il y a peu de chance qu’elle en déverse la moitié sur le sol en mélangeant son pied gauche et son pied droit ! Ou bien qu’elle repeigne ses vêtements avec. Elle aura donc ponctuer la plaisanterie de l’ancien élève de Mahoutokoro d’un petit « voui » avec son petit sourire mutin quoi que toujours timide.

- Oh oui la taverne, je n’y ai pas encore été. Je n’ai pas l’habitude de boire de l’alcool. Il parrait que ça fait perdre un peu le contrôle.

Et si elle ne détaillera pas d’avantage ce qu’elle entend par contrôle, ne doutons pas qu’elle fait référence, au moins pour elle-même, à sa nature de demi-vélane qu’elle n’a jamais appris à maîtriser et qui reste un de ses plus grands ennemis.

- Han ! C’est pareil pour moi ! Mais jamais sans la carte de l’université, j’adore la faune et la flore. Mais j’ai un sens de l’orientation pas terrible. Du coup je préfère aussi le faire quand je suis certaine de ne pas avoir d’obligation après, on sait jamais !

Des fois qu’elle ne se perdre dans un labyrinthe ou qu’elle croise un essaim de fée avec qui elle pourrait entrée en grande conversation.

- J’adore les creatures magiques, je suivais les cours de soin au créature magique à l’école. Mais pas le domptage, je préfère les voir s’épanouir qu’en cage. Le soir on pourrais voir les Veaudelune et quelques autres créatures nocturne, on n’aura pas les mêmes observations de jours et de nuits. Du coup j’aimerais bien aller y passer peut-être une après midi et un début de soirée, peut-être avec un picnique ? Tu pourrais venir avec moi si tu veux, ça sera mon occasion de t’inviter à mon tour !

Et de tester sa cuisine pour voir s’il va vraiment avoir envie de monter leurs petits stands sur le marché ? Encore une fois, ne sait-on jamais parfois qu’il n’aime pas ses pâtisseries parce qu’elles pourraient être trop sucrée ou pas assez ?

- Je n’aime pas quand il y a trop de monde par contre, ça me met mal à l’aise. C’est sûrement pour ça que je n’ai pas encore été à la taverne. Oh oui merci, je vais faire attention. J’ai une cargaison précieuse !

Elle parle bien du sac de gâteau en marchant tout en essayant de voguer entre observer là où elle met les pieds et les sous-titre au-dessus de la tête du jeune homme qui l’oblige légèrement à tendre le cou. Le tout en prenant tranquillement les sentiers de l’université. Pour être honnête, elle ne regarde pas vraiment où ils vont et suis simplement le jeune homme quasiment à l’aveugle. Prise à la fois dans la conversation qui se poursuivra le reste du chemin et aussi parce qu’elle est simplement comme ça. Et bientôt, ils pourront retrouver les amis de Min-Soo, notamment @Ye-Jun Park et son ami @Ha-Joon Choi non loin du jardin des potions pour de nouvelles aventures.

Fin

♡ ma couleur est le rosybrown / #bc8F8F ♡