Photomaton : PV max : 900 Gallions : 330 Ses PC : 05/15 Activité : étudiant en 2è année de journalisme. Membre des arcanes révélées, de l'AEM et de l'AEIM. Son prénom est Amadeus, mais si vous l'appelez comme ça il est fort probable qu'il ne vous réponde pas. : __________________________ : Messages : 552 Faceclaim : Cole Sprouse Mes TW : mention de consommation de drogue (canabis, cigarette), alcool. Potentiel mention "holé holé" (comprendre, sexe, drogue & rock'n'roll). Multis-comptes : Magdalena, Ye-Jun et Mackenzie ♡
Identité magique Ma baguette: Mes Caractéristiques: Mes maîtrises: Mes sortilèges: Mes recettes:
2024.09.06 | Timothy, Moira et Atlas.
Jeu 22 Fév 2024 - 1:12
vendredi 6 septembre 2024, Poudlard - dialogue en #186353
Quête n°1 ; les livres perdus de la bibliothèque interdite.
feat. @"moira alcorn" et @"atlas worthington"
Points de vies : 200/200 Manchon de baguette équipé : n'en a pas pour le moment. Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Scrutoscope - si vous l'avez sur vous, se met à siffler quand quelqu'un de dangereux pour vous se trouve à proximité, plus il tourne et siffle vite/fort, plus le danger est grand ! (vous devez le préciser au pnj quand vous l'utilisez en intrigue). • Objet 2 - description
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Remontant de Pomfresh - le remontant de Pomfresh est un tonique magique pour tonifier l'organisme après des dommages physiques mineurs. Vous rend +50pv par maîtrise de potion. • Potion 2 - description • Potion 3 - description
Sort utilisé à ce tour : // Potion utilisée à ce tour : // Objet utilisé à ce tour : // Information(s) Hors-jeu : j'espère que ça vous conviendra, j'ai essayer de contextualisé en restant logique. Je vous propose d'avancer de façon a ce que les trois puisse être au point de rdv à reporter leurs mains -ou pied hein, c'est vous qui voyez- sur le portoloin que tendra Tim après les salutations.
Il s’avère que ce matin-là, môsieur Pendleton n’avait pas du tout prévu de commencer sa journée -après-midi- avec un hibou tentant de fracasser la fenêtre de la chambre qu’il partageait avec son frère. Et il faut croire que Charles non plus, vu l’objet volant non identifier qui fis un petit trajet canapé-chambre que Tim venait de se prendre dans la tronche. Non, les deux frères n’en sont plus au stade où ils partagent une chambre et des lits superposée. A vrai dire, ça n’a même jamais été le cas ! Si vous voulez vraiment tout savoir, ils c’étaient endormis sens-dessus-dessous en plein milieu du salon, une bouteille terminant de vidé sa liqueur sur le parquet ciré qui serait plus tard astiquée par un elfe de maison pour éviter d’être complètement ravagée. Et de cendrier remplit de mégots, de cigarette certes, mais aussi de quelques substances illicites dont ils avaient abusé la veille. Mais comprenez-les, hommes dans la fleur de l’âge foulant pour la première fois les pavés d’une université magique encore immaculée ? Si ce n’est pas un appel à l’excès, je ne sais pas ce que c’est !
A en croire les bruits de talons qui avaient claqué sur le parquet y’a un temps indéfinis de ça, ses messieurs n’avaient pas fini leurs soirées seul. Mais là encore, aucune surprise. Grommelant alors qu’il se redressait et passais une main dans ses cheveux pour en ébouriffée quelque mèche, on pourrait dire qu’il avait la tête dans le cul et le cul dans le brouillard l’ancien Serpentard ! C’est d’ailleurs ce que traduit un grommellement qui suivis de près un bâillement à s’en décroché la mâchoire. Trainant des pieds jusqu’à la fenêtre qu’il ouvrit, il cligna plusieurs fois des yeux en voyant le petit piaf un peu trop surexcité à son goût s’engouffrer dans la garçonnière. Déposant allègrement quelques plumes, mais il n’allait pas se plaindre, au moins ça n’était pas de la fiente.
Après une opération presque chirurgicale dans le but de décroché le morceau de parchemin attaché à la patte de l’oiseau nocturne, il eu quand même le réflexe de lui déposer quelques petites tapes amicales sur le sommet du crâne. Traînant des pieds jusqu’au salon, c’est avec un nouveau bâillement qu’il déplia la missive et essaya d’en déchiffrer l’écriture tout en ayant les yeux encore a moitié collé. Par Merlin… Il lui faut un café. Genre… Maintenant. Il ne fallu pas d’avantage que d’arrivé à la signature angulaire de son père pour finir de réveiller Tim qui fis rouler ses yeux dans leurs orbites en allant s’appuyer sur un coin de comptoir le temps de lancer la sacro-sainte machine à café. Et à entendre les bruits gutturaux produit par son frère, il n’était pas le seul à en avoir besoin. A moins qu’ils ne viennent d’Atlas ? Un ami d’enfance, leurs familles étant très proche : sa mère était la marraine du jeune Worthington, et la sienne celle de la petite sœur des jumeaux. Toute une histoire qu’on ne comptera pas ici, parce qu’on n’a pas toute la nuit non plus pour refaire le monde. Ou bien, que ça aura déjà été fait la veille ? Quoi qu’il en soit, il n’était donc pas surprenant de trouver l’élève d’Aurorium ici.
- C’est le padre’. Apparemment il nous envois un portoloin pour Poudlard.
Que c’est pratique les « pnj » ! Surtout quand aucun des participants a la quête n’a encore débloquer les maîtrises de transplanage ou de création de portoloin. Une exception à la règle a laquelle on consentira. Le jeune homme attrappe sa tasse de café fumante enfin prête et la porte déjà a ses lèvres, la repoussant aussitôt avec une grimace : c’est chaud !
- Y’a un truc a voir dans la bibliothèque interdite, il nous demande d’y aller. On doit le faire avec une ancienne Serdaigle qui a été recommandé par Miss McGonagall. Ça vous dit quelques chose Moira Alcorn ?
Oui ? Peut-être ? Ce n’est pas Charles qui va nous faire une réponse sujet-verbe-complément vu qu’il est en train d’enfouir sa tête dans un oreiller en étant pas loin de présenté son majeur à son frère. On comptera donc sur Atlas ? Quoi Tim ? Oui techniquement il pourrait s’en souvenir… Il pourrait. De cette situation cocasse avec une demoiselle de trois ans sa cadettes, un échange de courrier quelques peu gênant. Pas pour lui soit dit en passant, avec son assurance y’a pas grand-chose qui pourrais lui chatouiller l’égo. Non, pour elle très certainement à cette époque où elle n’était encore qu’une gamine. Et… Lui aussi de facto ? Quoi que certain pourraient s’amuser à dire qu’ils le sont toujours, des gamins.
- Charles bougera pas son cul. Maintenant que j’ai fait du café, tu viens avec moi Attila ?
Oui, le surnom affectueux c’est décider sur le tas. En attendant, vous avez vu l’amas de muscle et la taille de la bête ? Il fallait bien au moins ça ! Réponse il y aura très certainement eu, une tasse fumante -une seconde- apporter à « Attila » également, solidarité entre bro’ m’voyez. En revanche, on ne comptera pas sur Timothy pour sortir en sentant le fauve post-soirée, à moitié a poil dans son pantalon de pyjama. Une douche aura été de mise, et accessoirement enfilé une chemise et un jean propre aussi. Le reste ? Est-il besoin de noté étape par étape qu’il aura bien fini par quitter sa garçonnière en enfilant une veste en cuir pour rejoindre un point de rendez-vous qui aura très certainement été fixé pour la jeune femme qu’il devait retrouvé dans une missive similaire à celle qu’il avait eu. Et qui devait être au alentour du café des sorts et enchantement où -AMEN DU CAFE PLUS DE CAFE- il avait pu passer commande à une petite blonde qui semblait autant dotée de parole qu'un Focifère sous sortilège de mutisme.
Points de vies : 400/400 Manchon de baguette équipé : pas pour le moment. Objet(s) que vous avez sur vous : RAS. Potion(s) que vous avez sur vous : RAS. Sort utilisé à ce tour : // Potion utilisée à ce tour : // Objet utilisé à ce tour : // Information(s) Hors-jeu : c'est parti :873600741:
Le martellement vrillait les tempes d’Atlas alors qu’on arrachait le jeune homme d’un sommeil bien trop court. Il avait le dos en compote – et réalisa qu’il s’était endormi à même le parquet de la chambre des Pendleton. Le visage grimaçant, il se fit la promesse d’arrêter de se laisser embarquer dans les soirées animées des jumeaux. Dans son état hébété, il fit l’inventaire rapide de ses possessions : un pantalon, trois gallions dans la poche, sa baguette à portée de main. Restait à remettre la main sur son t-shirt, perdu quelque part dans l’appartement encore enfumé de la veille. Sa bouche était si pâteuse qu’il considéra brièvement de lancer un sort d’Aquastrill directement dans sa bouche quand la voix enrouée de Timothy l’interrompit. Le jeune journaliste se débattait avec un hibou – voilà qui expliquait les bruits qui l’avaient réveillés.
Les mots du sang-pur peinaient à s’imprimer dans son cerveau. « Poudlard… ? » répéta-t-il, sourcils froncés, alors qu’il repéchait son t-shirt froissé de sous le lit de Charles. Les phrases s’assemblaient peu à peu dans son esprit ralenti comme les pièces d’un puzzle complexe. « OK » bredouilla-t-il enfin, sans poser plus de questions. Il avait appris qu’il valait mieux ne pas remettre en cause les paroles du directeur du Département de justice internationale du Ministère.
Il baillait à s’en décrocher la mâchoire quand Timothy lui demanda s’il connaissait une certaine Moira Alcorn. « Nope, ça me dit rien » dit-il du tac au tac, avant de se reprendre. « Ah si, peut-être. Serdaigle t’as dit ? Elle a fait un passage rapide au club des sortilèges, on me l’avait imposée comme partenaire d’entrainement à l’époque mais ça n’a pas duré. Elle était complètement insensible à mes charmes d’ailleurs... » Il se gratta la joue, l’air perplexe, comme si c’était là un mystère des plus incompréhensibles. Sa peau rugueuse lui confirma qu’il avait besoin de se raser, et il n’osait pas imaginer l’odeur de tabac froid qui devait empester sur ses vêtements.
Atlas se releva au prix d’un effort surhumain. Des siècles de sorcellerie et pas un génie foutu d’inventer la formule parfaite pour débarrasser les étudiants d’une gueule de bois. Mais si Timothy voulait qu’il l’accompagne, Atlas allait devoir se ressaisir. Avec un peu de chance, c’était ce type d’actions qui l’aideraient à marquer des points auprès du père de Tim – le genre de personnes qu’il avait besoin de se mettre dans la poche. « Tu m’connais, Amadeus, je ne pourrai jamais résister à l’envie de revoir Madame Pince. Je suis sûr que je lui manque terriblement. » Il se souvenait des regards furieux que lui lançait la vieille bique à chaque fois qu’il avait introduit de la nourriture dans la bibliothèque à l’époque.
Il parcourut en diagonale la missive par-dessus l’épaule de Timothy et ajouta : « Je te retrouve au point de rendez-vous d’ici une demi-heure. » Il se hâta alors de rejoindre son propre dortoir dans le bâtiment Aurorium. Jamais une douche ne lui avait parue plus délicieuse. Trente-huit minutes plus tard et bien plus présentable avec son ancienne cravate Serpentard nouée autour de son col de chemise en souvenir du bon vieux temps, il retrouva Timothy face au Café des Sorts. Il se saisit du breuvage que tenait le jeune homme entre ses mains sans poser de question, « Du café ! Merci ! », avant d’en avaler une longue rasade comme un assoiffé – ce qu’il était. « Des nouvelles de Moira ? Je ne sais même pas si je saurais la reconnaitre aujourd’hui, ça fait tellement longtemps… »
Points de vies : 100/100 Manchon de baguette équipé : Non Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Objet 1 - description • Objet 2 - description
Potion(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Potion trismus, - La potion Trismus est une potion qui contracte les muscles de la mâchoire du buveur. Il aura dès lors du mal à parler et encore plus à lancer des sortilèges. • Potion 2 - description • Potion 3 - description
Sort utilisé à ce tour : // Potion utilisée à ce tour : // Objet utilisé à ce tour : // Information(s) Hors-jeu : J'ai improvisé un portoloin qui - bien sûr - peut changer, je ne savais pas tout à fait où m'arrêter, n'hésitez donc pas si vous voulez que je modifie quelque chose.
Une multitude de souvenirs inondaient l’esprit de Moira. La veille au soir, elle avait reçu une lettre de ses anciens collègues et les anecdotes qu’elle contenait ainsi que le papier jaunie à cause du soleil et de la chaleur d’Amérique centrale, ne la quittaient plus depuis. Elle n’avait rien d’aussi exaltant à leur raconter. Rien d’étonnant d’ailleurs, Moira n’avaient aucune envie de vivre des péripéties et préférait de loin être ennuyante plutôt qu’ennuyée. Pour l’instant, tout semblait aller dans son sens pour le plus grand plaisir de la jeune femme. Elle s’était même surprise à ne pas s’être encore agacée de la présence de ses camarades dans chaque recoin ce qui était, à ses yeux, admirable. Moira ne s’emballait pas pour autant : cela n’allait pas durer.
Comme pour lui donner raison, un hibou vint la sortir de ses pensées et tapant de façon véhémente sur la fenêtre de la chambre qu’elle partageait avec deux autres étudiants. Cela devait être pour l’une de ses colocataires, Moira avait reçu assez de lettres pour les deux prochaines semaines les deux jours précédents. Elle se leva tout de même pour lui ouvrir et attrapa la missive au vol. Pas de chance, le nom écrit à l’extérieur de la lettre était le sien et l’écriture ne lui disait rien ce qui n’était pas bon signe. Depuis aussi longtemps qu’elle pouvait s’en souvenir, Moira avait toujours détesté recevoir des lettres d’inconnus, cela n’apportait que des problèmes. Un rapide coup d’œil au contenu lui permit de comprendre que cette fois-ci ne ferait pas exception.
Un long soupir s’échappa d’entre ses lèvres après la lecture de la missive.
Elle n’avait vraiment aucune – mais alors aucune – envie de faire ce qu’on lui demandait. D’ailleurs, le ton de la lettre laissait plutôt penser à un ordre qu’à une demande. Aller à Poudlard, soit. Se rendre dans la bibliothèque interdite, pourquoi pas. Devoir faire ça avec deux personnes qu’elle avait vaguement croisé pendant ses études au château et qui ne lui avaient pas particulièrement de bons souvenirs, vraiment pas. Elle avait été – pour une raison qu’elle ne comprenait pas – recommandée par McGonagall au directeur du département de la coopération magique internationale. Lui-même avait bien sûr mis son fils sur l’affaire, ce qui n’étonnait malheureusement pas Moira et n’était pas gage de qualité à son avis.
Maintenant elle devait abandonner tous les plans qu’elle avait prévu – aucun – pour se rendre au café des sorts et enchantements près duquel elle avait rendez-vous avec Timothy et Atlas. Moira était vraiment ravie.
Son ravissement dû d’ailleurs se lire sur son visage lorsque, quelques dizaines de minutes plus tard, elle débarqua au lieu de rendez-vous. Elle fut tout de même contente de voir qu’ils étaient déjà-là, à l’heure. La ponctualité était une qualité et, comme elle n’était pas sûre d’en trouver d’autres chez Timothy et Atlas pendant le reste de la journée, elle avait tout intérêt à l’apprécier.
Elle se dirigea avec fatalité vers les deux jeunes hommes et ne put s’empêcher d’attraper au vol la remarque que faisait Atlas alors qu’elle arrivait à côté d’eux.
« Heureusement que j’ai une meilleure mémoire que vous dans ce cas. Je suis Moira, tu es Atlas (elle lança un regard dans sa direction avant de tourner la tête vers celui qu’elle n’avait pas encore entendu parler) et toi Timothy. »
Moira n’avait jamais été très douée pour faire la conversation. Elle avisa le foulard que tenait Timothy entre ses mains.
« Maintenant qu’on se connaît, on peut y aller ? »
Moira attrapa un coin, plus vite ça serait fait plus vite elle serait rentrée et tranquille.
Farcesombre ★- P.N.J -★
Photomaton : Gallions : 87 Messages : 68
Identité magique Ma baguette: Mes Caractéristiques: Mes maîtrises: Mes sortilèges: Mes recettes:
Contexte : Les joueurs se rendent à la prestigieuse Bibliothèque Interdite, réputée pour ses nombreux ouvrages magiques rares et puissants. Cependant, une série de pages a mystérieusement disparu de certains de ces livres, menaçant de perdre des connaissances vitales pour la communauté sorcière. Objectif : Les joueurs doivent résoudre une série d'énigmes pour retrouver les pages manquantes et restaurer les livres à leur état d'origine.
Étape 1 : Le Défi des Énigmes
Les joueurs sont accueillis par le bibliothécaire en chef (Ariana McGonagall, nièce de Minerva. FC proposé, Emily Blunt), qui les informe de la situation. Les pages manquantes ont été enlevées par un sortilège complexe qui nécessite de résoudre des énigmes pour les retrouver. Les joueurs doivent choisir entre utiliser la magie pour résoudre les énigmes ou chercher des indices non magiques.
Les joueurs sont réunis devant le bureau d'Ariana, une pièce richement décorée de tapisseries anciennes et de chandelles vacillantes. La jeune femme, une sorcière austère aux lunettes rondes et aux cheveux auburn, explique la situation avec un soupir de consternation.
"Bonjour jeunes gens ! Je ne pensais pas que le ministère enverrais des étudiants pour résoudre ce mystère. Ravie de vous revoir miss Alcorn. Comme vous le savez, nous avons un problème sérieux. Les pages de certains de nos livres ont disparu."
La bibliothécaire tend quatre parchemins scellés par des rubans. Chaque parchemin contient une énigme différente. Elle continue,
"Vous pouvez utiliser la magie pour ouvrir ces parchemins, mais tout semble avoir été embrouillée et plus rien ne fonctionne comme avant. Il va falloir réussir à entré avant de pouvoir commencer l'enquête. Le voleur semble être aussi un farceur..."
Les joueurs ont donc deux options : utiliser leur baguette pour résoudre les énigmes magiquement ou faire appel à leur intelligence pour les résoudre sans magie. Ils peuvent choisir librement l'une des énigmes ci-dessous, chaque énigme nécessitant une approche différente :
Énigme 1 : Le Portail Enchanté "Je suis un portail enchanté, gardien d'une connaissance ancienne. Pour me franchir, il vous faut répondre à ma question : 'Qu'est-ce qui est plus puissant que la magie, mais ne peut être vu ni touché ?'"
Énigme 2 : Le Miroir des Mots "Je suis un miroir magique, je réfléchis la vérité cachée. Pour me dévoiler, énoncez le mot magique qui ouvre les portes de la connaissance."
Énigme 3 : Le Labyrinthe des Lettres "Je suis un labyrinthe de lettres, où chaque mot est un chemin à suivre. Pour trouver la sortie, composez un mot magique en combinant les lettres disséminées : MONGIHPCNA."
Énigme 4 : Le Code des Couleurs "Je suis un code des couleurs, chaque teinte renferme un secret. Trouvez le motif caché dans les teintes pour découvrir la réponse."
Les joueurs doivent choisir une énigme et décider de la méthode qu'ils souhaitent utiliser pour la résoudre. S'ils optent pour la magie, ils devront lancer un sort approprié pour résoudre l'énigme, en utilisant leur baguette. S'ils préfèrent la logique, ils devront réfléchir et collaborer pour résoudre l'énigme sans utiliser de magie.
p.n.j
compte animateur
A. Timothy Pendleton ๑۩ Sinistros ۩๑
Photomaton : PV max : 900 Gallions : 330 Ses PC : 05/15 Activité : étudiant en 2è année de journalisme. Membre des arcanes révélées, de l'AEM et de l'AEIM. Son prénom est Amadeus, mais si vous l'appelez comme ça il est fort probable qu'il ne vous réponde pas. : __________________________ : Messages : 552 Faceclaim : Cole Sprouse Mes TW : mention de consommation de drogue (canabis, cigarette), alcool. Potentiel mention "holé holé" (comprendre, sexe, drogue & rock'n'roll). Multis-comptes : Magdalena, Ye-Jun et Mackenzie ♡
Identité magique Ma baguette: Mes Caractéristiques: Mes maîtrises: Mes sortilèges: Mes recettes:
Re: 2024.09.06 | Timothy, Moira et Atlas.
Jeu 7 Mar 2024 - 9:01
vendredi 6 septembre 2024, Poudlard - dialogue en #186353
Quête n°1 ; les livres perdus de la bibliothèque interdite.
Points de vies : 200/200 Manchon de baguette équipé : n'en a pas pour le moment. Objet(s) que vous avez sur vous :
Spoiler:
• Scrutoscope - si vous l'avez sur vous, se met à siffler quand quelqu'un de dangereux pour vous se trouve à proximité, plus il tourne et siffle vite/fort, plus le danger est grand ! (vous devez le préciser au pnj quand vous l'utilisez en intrigue). • Objet 2 - description
Potion(s) que vous avez sur vous :
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• Remontant de Pomfresh - le remontant de Pomfresh est un tonique magique pour tonifier l'organisme après des dommages physiques mineurs. Vous rend +50pv par maîtrise de potion. • Potion 2 - description • Potion 3 - description
Sort utilisé à ce tour : // Potion utilisée à ce tour : // Objet utilisé à ce tour : // Information(s) Hors-jeu :
On passera sur le regard que Tim aura eu pour Atlas quand ce dernier l’aura appeler par son prénom « Amadeus ». N’importe qui d’autre aurait entendu en suivant « Timothy, Amadeus c’est mon père. » avec le sourire en coin de petit con qui va bien. Oui, pardonnez-le, il ne ce n’est pas attardée sur l’identité de la fille qu’ils devraient rejoindre, l’intérêt est passé aussi vite que la lettre. Sauf peut-être pour une petite pique sarcastico-ironique qu’il aura lancer à son ami d’enfance pour appuyer l’affront, l’aberration qu’une jeune femme ai pu résister à ses charmes ! Et la main sur le cœur, s’il vous plait. Juste pour la théâtralité de l’instant. Non il leva plutôt un sourcil « Elle est à la retraite la vielle Pince, c’est la nièce de McGonagall maintenant ». Haussement d’épaule du joueur Pendleton, un petit « ça marche, a toute ». Et nous pourrons retrouver les protagonistes de notre histoire devant le café des sorts et enchantements. Reconnaitre ? « Moira » ? Il a vu la vierge un peu le grand dadet. Parce que faut pas pousser non plus. Mais avant qu’il ait pu répondre, une petite brune particulièrement maigre avec des grand yeux bleu semblable à ceux d’un Cocker fis son apparition. Ça devait être-elle ? Ou bien une future groupie, au choix. Mais vu ses premiers mots, Tim n’eu pas trop de doute.
Y aller, quelle bonne idée. Non mais il n’aura rien dit et aura juste eu ce fameux petit sourire en coin en échangeant un regard avec Atlas. Pourquoi ? Parce que c’est normal qu’on le connaisse, lui. Et c’est normal aussi qu’il ne ce souvienne pas spécialement d’elle. Une sensation d’être tiré par le nombril par un crochet invisible plus tard. Et il laissera ceux qui n’ont pas l’habitude de voyager en portoloin trébucher pendant que lui atterrira souplement devant les grandes grilles de Poudlard pour en remonter l’allée, une main dans les poches, l’autre tenant une cigarette dont la fumée grise s’échappais en un petit nuage au-dessus de sa tête. Encore quelques minutes et il avait fini sa cancerette, l’avait écrasé et fait disparaitre dans un cendrier de poche -vivement l’evanesco- et le groupe avait passer les portes du château qu’ils avaient quitté il y a plusieurs années pour monter les marches et rejoindre la bibliothèque.
Accueillit par la nouvelle -pas si nouvelle- bibliothécaire, Tim lui présenta la missive et attrapa quelques parchemins pour les faires passer à ses accompagnants. Il en garda bien un entre les mains, mais sans le déplier pour autant.
- Quand est-ce qu’ils ont disparue ? Des indices sur la raison ou le type de livre dont les pages ont été arrachée ?
Oui, il va être en grande conversation avec la bibliothécaire, après tout, c’est lui le cerveau de cette oppération. Il va aussi compter sur les deux autres pour être exécutant et résoudre l’un des mystères, qu’ils travaillent enssemble ou non d’ailleurs. Quoi ? C’est un Pendleton, il ne va pas non plus trop se fatiguer. Et puis… C’est surtout le compte joueur du MJ, qui a les réponses et de facto, ne va pas non plus résoudre les enigemes à la place d’Atlas et Moira !
Identité magique Ma baguette: Mes Caractéristiques: Mes maîtrises: Mes sortilèges: Mes recettes:
Re: 2024.09.06 | Timothy, Moira et Atlas.
Mer 10 Avr 2024 - 15:52
Quête archivé pour le moment...
Votre quête est archivé pour le moment, elle n'a pas eu de mouvement depuis plus d'un mois. Nous comprenons parfaitement que l'IRL ou simplement l'envie ralentisse l'activité, et ce n'est pas grave du tout. Si vous voulez reprendre votre quête là où vous l'avez laisser, n'hésitez pas a simplement demander a @Farcesombre ou @Percival Whitlock de la sortir des archives !
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Le martellement vrillait les tempes d’Atlas alors qu’on arrachait le jeune homme d’un sommeil bien trop court. Il avait le dos en compote – et réalisa qu’il s’était endormi à même le parquet de la chambre des Pendleton. Le visage grimaçant, il se fit la promesse d’arrêter de se laisser embarquer dans les soirées animées des jumeaux. Dans son état hébété, il fit l’inventaire rapide de ses possessions : un pantalon, trois gallions dans la poche, sa baguette à portée de main. Restait à remettre la main sur son t-shirt, perdu quelque part dans l’appartement encore enfumé de la veille. Sa bouche était si pâteuse qu’il considéra brièvement de lancer un sort d’Aquastrill directement dans sa bouche quand la voix enrouée de Timothy l’interrompit. Le jeune journaliste se débattait avec un hibou – voilà qui expliquait les bruits qui l’avaient réveillés. 
